Lettre à la France : appel à la vigilance lucide
- mohamedlouizi
- il y a 2 heures
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Françaises, Français, mes chers amis, mes chers concitoyens,
Je m'adresse à vous aujourd'hui avec le cœur lourd, fatigué, souffrant mais toujours lucide face à notre situation. Je m'adresse à vous, non pas en théoricien lointain, perché, mais en homme de foi qui a été au cœur de la machine que je dénonce depuis 2007 à mes dépens : l'islam politique conquérant, et plus particulièrement un de ses redoutables bras organisés, les Frères musulmans.
Je ne vous ai jamais menti. Je suis toujours resté attaché aux faits véridiques et vérifiables. Je vous ai livré tant de décryptages documentés, factuels et totalement désintéressés. J’ai toujours fait fi des injures publiques proférées par des pourfendeurs à court d’arguments. J’ai repoussé leurs attaques sur les réseaux sociaux et ridiculisé leurs lamentations dans les prétoires. Ma lettre d’aujourd’hui est un ultime cri d’alarme avant un silence redouté. Mon message est aussi un appel à l’action. Il est temps, pour notre France, de regarder la vérité en face. Je vous prie d’écouter et de lire cette lettre jusqu’au bout.
Françaises, Français, mes chers amis, mes chers concitoyens,
Permettez-moi d’abord de m'adresser à vous, Forces vives de la Nation : Militaires, Policiers, Gendarmes, Sapeurs-Pompiers, Personnels de Santé et des Secours. Vous êtes les sentinelles qui se tiennent chaque jour entre l'ombre de la barbarie islamique et la lumière de notre démocratie française. Votre engagement au quotidien est la preuve vivante que la France ne pliera pas.
Aux Forces de sécurité intérieure et aux Armées, vous qui risquez votre vie face au terrorisme islamique, face aux violences sauvages quotidiennes, face au crime organisé de la sédition islamo-gauchiste : la Nation vous est à jamais redevable d'une gratitude infinie. Merci.
Aux Pompiers, Médecins, Infirmiers et Aides-soignants, vous qui pansez les blessures des victimes des faits divers comme des faits de société, vous qui maintenez le service public dans les conditions les plus extrêmes : votre dévouement est héroïque. Merci. Nous devons vous donner tous les moyens nécessaires pour accomplir votre mission. Nous sommes fiers de vous et nous devons rester unis derrière vous pour assurer la sécurité de tous.
Françaises, Français, mes chers amis, mes chers concitoyens,
Le danger qui nous guette n'est pas seulement celui du terrorisme islamique spectaculaire, celui des attaques aux couteaux, aux sabres ou à la machette, celui des attaques aux véhicules béliers, celui des ceintures explosives, des bombonnes de gaz ou des bombes faisant des centaines de victimes et de blessés que nous pleurons depuis plus de trente ans. Ce danger est la guerre de destruction massive et systémique, qui fut sourde un temps mais qui ne l’est plus maintenant, que mène l’islam conquérant contre notre France, contre notre République française.
Cette stratégie porte un nom idéologique : le Tamkine, la soumission de la France à la charia islamique par la domination violente et non-violente tous azimuts. Vous l’avez compris, cette stratégie est double et elle se tient sur deux jambes :
Première jambe : la violence terroriste brutale. Des actes terroristes visant à semer le chaos, à faire régner la terreur, à polariser la société et à provoquer une réaction qui, de toute façon serait qualifiée d’ « excessive », de « disproportionnée » et qui servira de carburant à leur propagande victimaire anti-France via les réseaux sociaux, via la chaîne qatarie al-Jazeera, via l’agence de presse d’Erdogan et via les pressions des généraux algériens qui tiennent en laisse la diplomatie française. Leur but est de nous pousser collectivement à la faute, à la violence, de déchirer le tissu national et, en fin de compte, d'engendrer le risque de la guerre civile qui couve déjà.
Deuxième jambe : l'infiltration subtile et pernicieuse faite d'entrisme islamique. Elle passe par l'instrumentalisation d'associations, l'utilisation de la victimisation, et l'établissement d'une contre-société qui refuse nos lois, nos coutumes et notre modèle démocratique laïque. C'est le développement insidieux de deux sociétés face à face sous un même toit, dans l’espace public.
Nous devons cesser de tergiverser : l'islam politique est un projet totalitaire qui vise à détruire les fondations de la France, à démanteler les fondements des Lumières, de la modernité et de notre civilisation occidentale humaniste.
Face à cette menace complexe, la réponse de la France ne peut être ni l’angélisme béat, ni la stigmatisation à outrance. Elle doit être la lucidité républicaine et la fermeté sans failles. Force est de constater que pour casser la première jambe de l’islam conquérant, la jambe jihadiste, l'Etat s'est doté dans la douleur, dans l'hésitation, de certains outils pas tout à fait aboutis à ce jour et qui doivent gagner en efficacité.
Cependant, nous ne pouvons que regretter le fait que l’Etat demeure sans défense, sans outils et sans armes pour démembrer la seconde jambe de l’islam conquérant : celle de l’infiltration et de l’entrisme insidieux. Sur ce terrain, l’Etat est curieusement nu. L’Etat est scandaleusement et je dirais presque volontairement désarmé. Les vassaux des islamistes, les obligés des islamistes, les soumis aux islamistes, les dhimmis des islamistes et leurs compagnons de route ont offert aux islamistes une béquille provisoire pour se tenir debout. Pire encore, ils se sont coalisés, ils se sont constitués et coagulés pour former une prothèse de jambe sur mesure pour restaurer et pérenniser la mobilité de l’islam conquérant, pour lui garantir l’autonomie fonctionnelle et pour lustrer son image afin que l’islam conquérant puisse paraître, toujours, fréquentable.
Cette bande organisée d’«experts» controversés, de vrais vassaux, d’obligés, de soumis, de dhimmis, de compagnons de route à la solde des islamistes et à l’assaut infatigable des cadeaux du Qatar de Tamîm, de la Turquie d’Erdogan, de l’Iran des mollahs et de l’Algérie des généraux est confortablement installée au cœur même de nos institutions régaliennes, exécutives, législatives, judiciaires et médiatiques.
Cette bande organisée a ses entrées au cœur même de l’Elysée, de Matignon, du Conseil Constitutionnel, du Conseil d’Etat, de la Cour des Comptes, du Conseil Supérieur de la Magistrature, des Ordres des Avocats… sans parler des relais islamo-gauchistes qui se sentent chez eux au CNRS, dans les Grandes Ecoles prestigieuses, dans les studios de l’audiovisuel public. Leurs privilèges sont sans limites. Les dégâts qu’ils causent, sans être inquiétés, ruinent l’âme de la France et accélère l’islamisation en marche. Il est temps de dire stop !
Sans espoir, je l’avoue, je m'adresse à vous, Monsieur le Président de la République, théoriquement, constitutionnellement, garant de nos Institutions. Votre responsabilité, pour le salut de la France, est absolue. L'heure n'est plus aux atermoiements ni au «en même temps» : la souveraineté de la France, l’intégrité territoriale de la France, exigent de vous de faire un barrage total et sans failles face à l'islam conquérant.
De même, la France ne peut plus se permettre une immigration dérégulée qui sert de vecteur puissant à l'importation sur le sol français de tant de conflictualités, de tant de radicalités, de tant de misères, de tant de menaces, de tant de violences. La France n’a pas besoin d’immigration islamique de peuplement.
Protéger les Françaises et les Français, c'est reprendre le contrôle total de nos frontières pour stopper les flux migratoires, en exécutant les OQTF, en remigrant les immigrés régularisés qui commettent des actes violents, en subordonnant toute entrée aux impératifs de la sécurité nationale et de l'assimilation républicaine. « Nul ne peut être naturalisé s'il ne justifie de son assimilation à la communauté française ». La République chez elle, l'islam chez lui : voici une règle qui doit être votre boussole.
Monsieur le Président, dois-je encore vous alerter, une nouvelle fois, sur un point de vulnérabilité majeur : l'infiltration islamique au sein des aumôneries de nos institutions fermées et sensibles : les prisons, les hôpitaux et les armées ? Vous n’êtes pas sans savoir que l'islam conquérant a identifié depuis le début des années 2000 ces lieux, en particulier, pour recruter, imprimer son idéologie et diffuser sa doctrine.
Le milieu carcéral est un terreau fertile. Il est désormais infesté par l’idéologie de l’islam conquérant. C’est une faute impardonnable d’avoir confié à des frérosalafistes une partie du portefeuille de l’aumônerie musulmane. L’Hôpital est un lieu où tant de vulnérabilités, liées aux maladies ou à la fin de vie, sont utilisées par des islamistes pour étendre leur contrôle sur les patients, sur leurs familles, sur le personnels soignants, sur les soins et sur le dernier souffle avant la mort. L'Armée, creuset de la loyauté, qui doit être protégée de toute subversion idéologique n’a pas été épargnée, ni avant 2017, ni après. Nous devons exiger des Ministères un audit immédiat et total des réseaux d'aumôneries musulmanes et une fermeté absolue pour écarter toute personne liée de près ou de loin aux organisations islamiques prônant l’idéologie de rupture.
Je m'adresse à vous, ministres, sénateurs, députés, présidents de Régions et de Départements, préfets, maires, élus ainsi qu'aux responsables des organismes et partenaires sociaux, vous avez le devoir absolu de couper sans pitié les vivres de l'islam conquérant, d’assécher ses sources. Pas une loi votée ne doit lui être favorable. Pas une décision, pas une délibération, prise lors d’un conseil, ne doit lui être bénéfique. Pas une position éligible, sur une liste électorale, ne doit être cédée aux ennemis de la démocratie. Pas un seul mètre carré pour un cimetière séparatiste musulman. Pas un seul mètre carré d’espace public pour une prière collective, un jour de vendredi ou un jour de fête, dans une rue ou dans un stade. Pas un seul créneau réservé aux femmes voilées dans vos piscines. Pas un seul burkini sur vos plages.
La stratégie d’infiltration mise aussi sur le financement direct ou indirect de structures dont le but réel est de propager l'idéologie islamique. Mettez fin à toute subvention publique à toute structure qui prône le séparatisme islamique. Ne laissez pas l'argent des contribuables servir de carburant à ceux qui cherchent à détruire la France. Pas un euro d’argent public pour les ennemis de la France.
À vous, magistrats, avocats, juristes, l'islam conquérant cherche à instrumentaliser le droit, notre droit positif, en brandissant à tout bout de champ l'accusation d'«islamophobie» comme menace, comme épouvantail, pour paralyser l'action publique et préparer le terrain à l’instauration de sa charia islamique. La loi de la République étant supérieure, votre devoir est de rendre la justice avec courage et impartialité, en sanctionnant fermement toute tentative de subversion légale, toute opération de jihad judiciaire. Dans notre démocratie française, la justice est rendue au nom du Peuple souverain, source de toute légitimité. Vous en êtes les garants. Ne laissez pas les islamistes instrumentaliser nos lois et n’oubliez pas ce qu’a dit l’un des théoriciens des Frères musulmans en 2002, Youssef al-Qaradawi, je cite : «Avec vos lois démocratiques nous vous coloniserons, avec nos lois coraniques, nous vous dominerons». Fin de citation.
Je m'adresse aux médias qui, en théorie, sont garants du droit à l'information libre. Vous devez cesser de tomber dans les pièges sémantiques qui vous sont tendus. Le terme «islamophobie», par exemple, que vous utilisez souvent sans précaution, a été conçu, vulgarisé et imposé comme élément de langage par les islamistes eux-mêmes pour museler toute critique légitime et nécessaire de l’islam comme religion et toute dénonciation de l’islamisme comme idéologie jihadiste de conquête. Je vous exhorte à nommer les choses clairement : distinguez rigoureusement la xénophobie anti-musulmans, quand elle s’exprime, de la critique idéologique de l’islam, de son récit politique et de ses manifestations dans l’espace public.
Cessez d’inviter à vos plateaux des islamistes et leurs relais et influenceurs. Cessez d'être des chambres d'écho et des caisses de résonance à leur victimisation et revendications. Faites le ménage dans vos rédactions car il s’y trouve certes de vrais journalistes qui honorent la carte de presse et sa déontologie, mais aussi des militants qui en font une carte de prêche. Redevenez ce quatrième contre-pouvoir éclairé dont la démocratie française a besoin.
De grâce, cessez de servir les récits qui tentent de relativiser la barbarie de l’islam conquérant, tantôt par la psychiatrisation à outrance des profils jihadistes, tantôt par une ribambelle de circonstances que vous souhaitez atténuantes, servant ainsi votre stratégie du déni. Il n'y a pas de loups solitaires. Il n'y a que des meutes solidaires. Derrière chaque jihadiste, il y a tout une équipe logistique, un comité de soutien et une communauté de repli.
Que l'on arrête d'idéaliser le profil jihadiste, en y cherchant désespérément la vertu, la connaissance de l’islam, l’érudition, comme préalables pour qualifier un acte de terroriste ou pour que le Parquet national antiterroriste s’autosaisisse du dossier. De tout temps, sauf quelques exceptions, les armées islamiques du jihad et des conquêtes étaient majoritairement composées de personnes misérables, tant sur le plan éthique que sur le plan social, de prédateurs aguerris, sans foi ni loi, de psychopathes assoiffés de sang, de pédo-pervers, de frustrés sexuels, d'ivrognes et de petites frappes à qui Mahomet, ses califes et des empereurs ont promis, pour les mobiliser et les galvaniser, des femmes à volonté, des terres fertiles, de l'or et de l'argent, du tourisme sexuel post mortem dans un paradis fantasmé à dessein, où des rivières d'alcool couleraient à flot, où ledit «martyr» se croirait comme à la station balnéaire de Pattaya : le choix entre des «salons de massage» tenus par de jeunes houris et la possibilité d’accès à de petits garçonnets impubères...
Je m'adresse à vous, hussards de la République, institutrices et instituteurs, dépositaires du futur de notre Nation. Vous êtes en première ligne face à l'entreprise conjointe de l’islamisme et du wokisme de déconstruction qui vise nos enfants. L'islamisme cherche à s'immiscer dès le plus jeune âge, à travers le doute jeté sur l'enseignement de la Science, de l'Histoire, de l'égalité homme-femme, de l’éducation sexuelle ou de l’éducation physique et sportive. Votre rôle est sacré. Je vous en conjure, défendez l'École de la République comme sanctuaire de l'esprit critique, de la laïcité et de l'émancipation. Enseignez, sans trembler, la liberté absolue de conscience et la suprématie de la loi de la République sur toute autre loi. Ne laissez aucune pression communautariste altérer le contenu de vos cours. Ne transformez pas vos sorties scolaires en campagne de promotion du voile islamique.
Je m'adresse à vous, universitaires, chercheurs et intellectuels, dépositaires de l'esprit critique et de la transmission du savoir. Et plus particulièrement à vous, intellectuels de confession musulmane. Votre silence, votre timidité ou votre neutralité face à la subversion islamique sont devenus intolérables. L'Université, lieu de la recherche et du débat, est elle-même minée par des courants idéologiques relativistes, islamo-gauchistes, wokistes qui, sous couvert d'études post-coloniales ou de complaisance envers le communautarisme islamique, servent de caution intellectuelle aux thèses fréristes et à l’antisémitisme qu’il alimente. Vous avez le devoir de défendre la rigueur scientifique, de déconstruire les récits victimaires et de combattre l'obscurantisme théologique.
Quant à vous, penseurs de l'islam, vous devez enfin opérer la réforme fondamentale et théologique que l'islamisme cherche à empêcher. C'est à vous de produire une lecture de l'islam résolument française, apolitique, moderne et totalement compatible avec la Laïcité et les droits de l'Homme. Cela, j’en conviens très volontiers, ne se fera pas dans l’aisance. Il faut tailler dans le vif. Le combat contre l'islam conquérant est d'abord un combat des idées, et vous devez être à l'avant-garde sans crainte de perdre des privilèges ou d’être mis à l’index. La liberté de penser a un prix, êtes-vous prêts à l’assumer ?
Je m’adresse à vous, patrons, dirigeants des petites, moyennes et grandes entreprises, et responsables du monde économique et social, vous avez au même titre que l’Etat un rôle de gardiens des principes laïques sur votre lieu de travail et dans tous les secteurs économique, financier, industriel et commercial. L'entreprise est le lieu par excellence du mérite, de l'égalité de traitement et du droit positif. Le lieu de travail n'est pas un lieu de culte ou de prosélytisme, mais un espace où seuls la compétence et le respect du règlement intérieur doivent primer. Soyez vigilants face aux pressions communautaristes islamiques qui cherchent à imposer des exigences religieuses contraires au Code du travail, à l’organisation du travail ainsi qu’au principe de neutralité. Je vous en conjure, ne tolérez aucun accommodement avec les revendications islamiques. N'acceptez aucun créneau ni aucun espace de prière au sein de vos établissements. N’y autorisez aucun habillement islamique, aucun hijab, aucune abaya. En défendant l'intégrité de votre entreprise, vous défendez un pilier de l'intégration républicaine.
Je m’adresse à vous, acteurs du monde du sport car vous incarnez par excellence une certaine idée de l'universalisme et une certaine idée de la rencontre et du respect par-delà les origines et les frontières. Aux clubs et fédérations sportives, je dirais que le sport est un formidable creuset d'assimilation fondé sur le respect de la règle unique, de la règle commune et sur l'égalité des chances. Vous devez continuer à être des sentinelles vigilantes contre toute tentative de ségrégation entre les hommes et les femmes ou de prosélytisme au sein de vos enceintes et de vos équipes. Refusez que le terrain de jeu devienne un lieu de division ou d'exception communautariste. Une salle de sport ne doit jamais devenir une salle de prière.
Je m’adresse à vous artistes et institutions culturelles, votre mission est de cultiver la création sans tabous, l'esprit critique et la liberté d'expression, y compris le droit de blasphémer et d'explorer toutes les facettes de l'humain. Ne cédez jamais à l'autocensure face à l'intimidation ou à la menace islamique. L'art, sous toutes ses formes – caricature, poésie, peinture, sculpture, musique, danse, théâtre – doit rester un espace de liberté inconditionnelle qui dénonce l'obscurantisme, y compris islamique, et célèbre la richesse de la condition humaine.
Je m’adresse à vous femmes et hommes politiques de France. Vous avez l’immense responsabilité de défendre l'intégrité de nos institutions et de les protéger contre l’entrisme frérosalafiste. Je vous ai observés durant plus d’une décennie. J’ai constaté que l'islam conquérant a trouvé en vous de gentils naïfs, parfois, des complices involontaires, quelquefois, des complices ultra-motivés. Depuis 2015, je ne cesse de vous alerter et de dénoncer tant de proximités coupables avec des islamistes. Parfois, vous vous êtes ressaisis juste à temps et je vous en remercie. Parfois, vous avez poursuivi vos manœuvres obscures de sape des fondations de la France et du pacte républicain. L'islam politique, dans sa stratégie d'infiltration, cherche activement à instrumentaliser la démocratie en ciblant prioritairement les partis politiques, notamment ceux en quête de nouvelles assises électorales. En cédant à la tentation de l'entrisme communautariste pour quelques voix, en acceptant des financements occultes, locaux ou étrangers, ou en légitimant et notabilisant des figures dont le double langage est patent, vous leur ouvrez grand la porte.
Je vous le dis avec lucidité, avec gravité, que vous soyez de gauche, du centre ou de droite, vous n’êtes toujours pas immunisés contre l’islam politique. Il sait vous séduire car il connait vos faiblesses et vos ambitions et mise sur vos renoncements, vos peurs et vos lâchetés. Lorsque l'on pactise avec l'islam conquérant, on ne signe pas une alliance pour le bien des citoyens, on signe une capitulation progressive, définitive et irréversible. Mettez-vous devant vos responsabilités historiques. La survie de la France n'est pas négociable. Votre devoir est de faire le grand ménage au sein de vos rangs, de refuser toute forme de compromission et d'exiger une loyauté absolue aux principes laïques et républicains de la France. Ne laissez plus la naïveté ou l'opportunisme miner la confiance de la Nation.
Je m’adresse désormais et sans détour à ceux qui, au sein de l'échiquier politique, ont choisi délibérément la voie de l'opportunisme, de la compromission, de la complicité et de la corruption active et passive. Je m’adresse à ce qui reste du «Nouveau Front Populaire», à la «gauche pastèque», aux escrologistes qui vapotent le gaz qatari et inhalent à l’euphorie le gaz algérien, et surtout à ce parti de l’étranger : «La France Insoumise». Votre stratégie a conduit à une capitulation idéologique sans précédent face à l'islam politique. En légitimant, comme vous avez l’habitude de le faire, des figures fréristes qui excellent dans le double-discours, vous avez contribué activement à islamiser tant de « territoires perdus de la République » et à fracturer la société française.
De plus, cette alliance s'est faite honteusement au prix d'une ambiguïté insupportable face à l'antisémitisme qui, par ailleurs, n’est plus une ambiguïté depuis que vous avez justifié et légitimé le Pogrom du 7 octobre 2023 perpétré par le Hamas terroriste contre des civils israéliens, sous supervision bienveillante du Qatar, de l’Iran et de la Turquie. Depuis, votre haine des Juifs parce que Juifs n'a d’égale que votre amour passionnel envers les Frères musulmans et les Gardiens de la révolution des Ayatollahs.
Oui, honte à vous, vous avez pactisé avec l'islam politique et vous avez trahi l’héritage d’émancipation, de la modernité et des libertés. Vous avez trahi la mère des libertés : la liberté de conscience. Jadis, vous étiez ostensiblement «bouffeurs de curés», vous voilà aujourd’hui lécheurs de babouches. Jadis, vous proclamiez «ni Dieu, ni maître», vous voilà aujourd’hui soumis à Allah et achetés à vil prix par des Abdallah. Jadis, vous prétendiez être défenseurs des droits des femmes à s’émanciper et à se libérer du patriarcat et des pressions religieuses, vous voilà aujourd’hui réduits au rôle de funestes promoteurs de l’islamisme et du voilement des fillettes. Votre soumission n’a plus de limite. Vous incarnez la gauche pénitente qui, s’il pleuvait à Téhéran, à Doha, à Ankara ou à Alger, vous ouvririez les parapluies à Paris.
Je m'adresse à vous, mères et pères musulmans, Français ou immigrés, votre foyer doit être le premier lieu de transmission de l’amour de la France, de son Histoire, de son héritage et de ses valeurs humanistes. Cette France qui nous accueille généreusement et vous donne tant d’allocations, pour élever vos enfants sans vous soucier des moyens. Soyez vigilants quant aux influences idéologiques subies par vos enfants, que ce soit dans les établissements privés dits «musulmans», que ce soit dans les mosquées, sur les réseaux sociaux, dans les clubs de sport ou dans certains milieux associatifs. Le devoir d’une mère, le devoir d’un père est d'offrir les outils du discernement pour que l'enfant ne confonde jamais la foi, en l’occurrence musulmane, avec l'idéologie islamique totalitaire qui l’instrumentalise. Faites de vos enfants des citoyens français éclairés, fiers de la France, fiers de leurs origines et armés pour déconstruire les récits de haine. Ne sacrifiez pas vos enfants sur l’autel de l’islam politique et de la gauche radicale séditieuse et, je vous en supplie, s’il vous plaît, n’en faites pas des soldats d’Allah.
Je m'adresse à vous, imams des mosquées, vous qui avez signé «la charte des valeurs républicaines». Votre devoir est d'être les remparts infranchissables contre la radicalité islamique. Dénoncez ouvertement et sans ambiguïté l'idéologie des Frères musulmans et des salafistes. Enseignez à vos fidèles que le respect de la laïcité est une exigence de l'État et non un obstacle à la foi. Neutralisez tous les textes coraniques et mahométans jihadistes, guerriers, misogynes, antisémites, anti-chrétiens et liberticides. Nettoyez vos prêches de ces textes haineux et scandaleux. Au lieu de psalmodier dans vos mosquées des versets qui cultivent la haine des non-musulmans, chanter à vos fidèles ces vers du grand poète arabe Ilya Abû’l Mâdhi : «Malgré la nuit, sois un astre qui tient compagnie aux forêts / Au fleuve, au pleines et collines / Et non une nuit obscure qui, détestant tout le monde / Jette sur les gens un sombre voile. / Toi qui te plains alors que tu ne souffres d’aucun mal / Sois beau et tu verras que la vie est belle !»
Cultivez auprès de vos fidèles l’espérance et le pardon au lieu d’entretenir l’angoisse de la mort, la peur de la tombe et du jugement dernier, la peur de l’enfer. La somme de toutes ces peurs génère dans les esprits de vos fidèles présents ou connectés de terribles angoisses qui motivent certains fous d’Allah, que vous avez endoctrinés, à commettre des attentats pour se racheter, absoudre les péchés, et accéder sans jugement à un paradis fantasmé pour y trouver soixante-douze vierges en chaleur...
Enseignez à vos fidèles que l’homme de foi musulmane ne doit être qu’un vecteur exportant la paix, inhibant toute agressivité, cultivant la non-violence dans le silence de son âme et inspirant la confiance à ses voisins et prochains. Votre refus d’opérer la douloureuse et indispensable réforme de l’islam ne vous honorent point. Votre obstination à refuser de réformer l’islam et d’opérer ce que le judaïsme et le christianisme ont déjà fait depuis des siècles fait de vous, et vous en êtes les seuls responsables, les seuls coupables, des ennemis de l’intérieur et je pèse mes mots.
Je m'adresse à vous, femmes voilées. Je suis le fils d’une mère voilée. Je suis le frère de plusieurs sœurs voilées. Je suis l’oncle de nièces voilées. Je suis le beau-frère de plusieurs femmes voilées. Que l’on ne me raconte pas d’histoire : je sais que le voile islamique n’est ni un choix, ni une expression de la foi. Il est le symbole par excellence de la soumission de la femme. Quand il y a voile, il y a nécessairement l’effacement de la femme, la peur des regards, la peur des châtiments, la peur de l’enfer. Quand il y a voile, il y a l’auto-exclusion, la restriction des libertés, la célébration de la laideur et ses frustrations. Le hijab, dans l'espace public, dans les sorties scolaires, à l’université ou dans l’entreprise est le drapeau ostentatoire d'une idéologie islamique de conquête de l’espace public. En cédant à cette pression, vous devenez les étendards vivants de ceux qui cherchent à renier notre héritage français d'émancipation. Certes, votre corps vous appartient. Il est votre liberté, mais il ne doit pas devenir le territoire de l'idéologie frérosalafiste, ni son panneau publicitaire.
Je m’adresse à vous, jeunes Français de confession musulmane, filles et garçons, l'islamisme veut vous enfermer, vous asservir et se servir de vous comme de la chair à canon. Votre liberté est dans l'ouverture d’esprit. Chérissez et célébrez la vie. Lisez la Science. Explorez l’Univers. Détachez votre regard de Snapchat et de TikTok. Levez vos yeux vers le Ciel, vers l’infiniment grand et sa majesté. Prêtez attention à l’infiniment petit et ses fragilités. Emerveillez-vous devant la sainte Vie. Explorez la Terre, ses couches, ses tréfonds et ce qu’ils racontent. Sublimez l’art et la beauté. Soyez addicte à la littérature, à la Poésie.
Au lieu de lire des versets antisémites ou des hadiths jihadistes, lisez Charles Baudelaire et « enivrez-vous ». Lisez son très beau poème en prose : « Il faut être toujours ivre. Tout est là : c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve. Mais de quoi ? De vin, de poésie, de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous. Et si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un fossé, dans la solitude morne de votre chambre, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l'étoile, à l'oiseau, à l'horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est; et le vent, la vague, l'étoile, l'oiseau, l'horloge, vous répondront : « Il est l'heure de s'enivrer ! Pour n'être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous ; enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise.»
Chantez, dansez et ne laissez pas votre esprit s’obscurcir par une religion rétrograde ou devenir la bibliothèque d'un seul livre, aussi sacré soit-il. C'est en assimilant le particularisme français, en embrassant la culture universelle et l'héritage des Lumières que vous serez de véritables citoyens éclairés. Je vous exhorte à une lucidité radicale : rejetez catégoriquement toute idée du jihad armé. L'idéologie islamique qui justifie le terrorisme est une hérésie criminelle. Le véritable courage n'est pas de prendre une arme pour faucher des âmes et happer des innocents, mais de construire la paix, ici, maintenant, et de servir l'intérêt général de notre Nation.
Françaises, Français, mes chers amis, mes chers concitoyens,
La lutte contre l'islamisme est un devoir civique qui incombe à chacun de nous. Un de nos devoirs est celui de la prise de parole : ne laissons jamais un discours de haine anti-France, un propos séparatiste islamique ou une apologie de violence ou du repli identitaire sans réponse. C'est par ce courage civique au quotidien, par cette vigilance partagée et de proximité, par ce refus de la peur que nous allons ériger un rempart infranchissable contre l'idéologie de la division.
La France est plus forte que cette idéologie. Mais elle ne le sera que si elle est lucide, ferme et surtout, unie. Ne laissons jamais l'obscurantisme triompher de l'esprit des Lumières. Pour comprendre ce qui est attaqué, il nous faut nommer ce qui nous constitue : la France. La France n'est pas une terre vierge, n’est pas une terre déserte sans peuple, mais une Nation façonnée par un héritage historique, linguistique, culturel et spirituel plurimillénaire. Notre socle, c'est essentiellement l'héritage judéo-chrétien qui, mêlé à l'apport gréco-romain presque exclusif, a donné naissance à nos institutions, à notre culture, et surtout, à la conception humaniste de l'individu, à sa libération, à son émancipation, qui a ensuite permis l'éclosion des Lumières et de la Laïcité à la française.
Nous ne pouvons pas parler de défense des principes qui fondent la France et des valeurs qui fondent la République sans aborder la lutte absolue et sans concession contre l'antisémitisme. L'islam mahométan des origines est génétiquement et fondamentalement antisémite. L’islam d’aujourd’hui utilise l'antisémitisme comme marqueur idéologique fondamental dans la continuité de l’alliance hautement documentée entre les Frères musulmans et Hitler avant et pendant la seconde guerre mondiale. Cette haine viscérale du Juif est au cœur des écrits et des doctrines islamiques ; la combattre revient à s'attaquer à l'une des racines idéologiques du terrorisme au nom d’Allah.
Nous ne pouvons pas parler de défense des principes qui fondent la France et des valeurs qui fondent la République sans aborder la lutte absolue et sans concession contre la destruction massive du patrimoine chrétien de la France. Que l’on arrête de croire naïvement que le hasard, les mégots, les courts-circuits et le «pas de chance» seraient derrière les incendies des cathédrales et des églises qui, hélas, se multiplient ainsi que les vols et pillages dont elles sont victimes. La vérité dérangeante est que cela s’inscrit dans une guerre globale contre la chrétienté, contre ses symboles, en Orient comme en Occident, visant à convertir par la force et le feu l’héritage de Jésus pour le soumettre aux soldats de Mahomet. La crainte du Général de Gaulle est en phase de devenir réalité. Un jour, qui sait, à la tombée de la nuit, des islamistes déboulonneront le panneau «Colombey-les-Deux-Églises» et le remplaceront par «Colombey-les-Deux-Mosquées»…
Enfin, c’est bien cet héritage que nous devons protéger et sanctuariser. Il n'est pas une religion d'État, mais le terreau civilisationnel qui a permis l'épanouissement de la raison critique et de la liberté. Nous ne pouvons pas défendre la France et la République sans défendre la mémoire de ce qui l'a engendrée. L'islam conquérant et son avatar, le wokisme, attaquent cet héritage précisément parce qu'il représente la continuité historique et la résistance culturelle au Tamkine. Nous devons résister. Nous devons en être fiers, le transmettre sans complexe à nos enfants, et affirmer que c'est sur ce socle solide que tous les citoyens, quels que soient leur philosophie de vie, leur foi, leur choix, leur origine, trouvent leur place dans la communauté nationale française, une et indivisible.
Vive la République ! Vive la France !
Mohamed Louizi – 13 novembre 2025


